CHERIBIBI 007: LE ZINE DES CULTURES COPULAIRES

Fatalitas les aminches, le number seven est enfin sorti ! Recevoir son petit paquet de Cheribibi tout beau tout chaud en cette mi-décembre, c’est comme un petit noël avant l’heure…la gueule des deux barbus en moins. Et ça c’est pas du luxe parce que le p’tit gros en rouge et le grand maigrichon en slibard ça fait déjà un bail qu’ils me tapent sur le système nervous. Bon en tout cas, tu biges le facteur, tu l’accolades et tu lui offres un coup à boire quand il te remet ton paqueson de Cheribibi qui sentent encore l’encre fraiche… Ok j’arrête illico mes digressions introductives parce qu’autrement on n’est pas arrivé chez mémé ! Ceux qui connaissent le matos, je vais pas vous faire l’article hein, Cheribibi c’est beau, intelligent, intéressant, marrant, subversif, documenté, illustré, sexy…en deux mots ça bastonne sévère. Fichtre, je vends la camelote en deux temps trois mouvements sans m’en rendre compte. Bon impec pas la peine de refaire le baratin (c’est le même) pour ceux qui connaîtraient pas encore  notre feuille de chou préférée. Quoi ? Que j’esgourde ? Pas encore convaincu. Si tu crois que je vais faire le camelot stakhano toute la journée tu te fous le doigt dans l’châsse.  Pitain t’es bouché des portugaises ? Je viens de te dire que Cheribibi c’est le meilleur canard qui cause de cultures dans tout l’hexagone. Ah non je l’ai pas dit ? Bon ben voilà. Et si ça se trouve dans le monde entier, mais vu que ma science de la presse internationale, tamoule et inuit réunies, est limitée, je ne me prononcerais pas. Une chose est sure, c’est que tu ne trouveras pas dans un kiosque franssecaille un canard arrivant à la guibolle du Cheribibi. Comme toutes les ménagères, je n’échangerais pas mon Cheribibi contre une montagne de torches cul sans intérêt pondus par des grattes papiers qu’y connaissent nib à queud. Même à l’œil ! Et en plus niquer des arbres pour acheter une page sur deux de pubs capitalisto, c’est quand même moche. Bref, Cheribibi c’est le canard qu’on rêve de lire un jour et qui démontre par a moins x qu’avec un peu (beaucoup) d’envie et d’énergie, on peut vraiment exiger l’impossible tout en se faisant traiter de réaliste ! Bon allez ca suffit pour aujourd’hui le passage de pommade car vous allez finir par croire que j’ai banqué des actions dans ce canard. Mais vu qu’il est même pas côté en bourse ce bougre de gueux là, ça va pas être possible. Et en plus, il a même pas (lui) le quart de la moitié du début d’une demi-feuille de réclames en 92 pages n&b et couleurs. Je vais pas vous détailler le sommaire du n°7 vu que vous le trouverez , ni vous faire une chronique détaillée des articles vu que je les ai pas encore lu, vu que je viens de le recevoir. No problemo, croyez moi sur parole, vous ne regretterez pas d’avoir investi votre artiche dans une valeur sure en ces temps d’apocalypse financière. Même un borgne en le feuilletant avec son mauvais œil vous dira qu’il a une envie présente d’aller s’enfermer aux gogues avec son Cheribibi tellement c’est beau…et pas seulement parce que ce numéro est branché cul ! Bon et en bonus c’est mézigue qu’à pondu le petit fafiot sur le peintre Clovis Trouille (sobrement sous titré Clovis Trouille Fout la Pétoche au Bon Dieu) de la page 34 à 38 et qu’il en est pas peu fière le gars d’avoir sué pour pas un rond pour la trime team cheribibiesque. Allez, come on babe ! Eat the Rich !

 le blog de Cheribibi

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